Dans cette deuxième et dernière partie du résumé de son ouvrage, Jacques Séguéla pointe les dangers que représente ces GAFA par les robots qu’ils utilisent sans limites et pas toujours au service de l’homme ; l’Intelligence Artificielle, comme par exemple la destruction de l’emploi, et d’inventer la machine apte au permis de tuer sans en référer à personne ; l’apparition de cette nouvelle génération numérique avec, parmi d’autres, les conséquences de cette intrusion sur les relations familiales et amoureuses. Et aussi de pointer les apports bénéfiques de ces robots et « datas », tels que soulager l’homme des lourdes charges, l’aide à la détection des tumeurs cancéreuses de la peau, détection de la rétinopathie diabétique, apport des datas pour les parkinsoniens en les aidant à mieux marcher avec l’aide de la musique en chantant, les médecins choisissant, les titres qui stimulent leurs, les titres qui stimulent leurs fonctions ambulatoires en modulant le rythme de leurs pas, etc.
Et de militer pour un « code d’éthique » et une ligne où l’humain règne : « Les machines ni ne transpirent, ni ne sont inspirées », « Oui à la nécessité de fixer, les lignes rouges à ne pas franchir l’avenir qui s’invente, les excès à ne pas commettre, les atteintes à la morale à bannir, les viols de nos intimités à interdire », « Dans bonheur, il y a cœur, dans numérique, il y a numéro ».
A lire sur mon site personnel.
Ignace rak
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